Mise à jour le 10.10.2024

6 nouveaux reconnus en classe 1970 jilles

Photo de classe de 3ème 1937 avec Louise Macault

5 nouvelles photos

et plus de 100 nouveaux noms trouvés.

Le contrat d'une institutrice en 1923

L'appel de cotisation 2019 est disponible ci-dessous.

N'oubliez pas que celle-ci vous donne accès

à plus de 1050 listes d'élèves du Lycée de Laon

et qu'elle permet de donner des bourses à des élèves de maintenant.

 

      Si vous n'êtes pas sur ce site, c'est que vous ne m'avez pas contacté

pour me signaler votre présence sur une photo.

 

Si vous avez des photos de classe ou des listes d'élèves, contactez moi à : andresinet@gmail.com 

Je vous remercie d'avance de votre aide,

et toutes vos indications seront transmises 

à l'Association des Anciens Élèves des lycées de Laon.

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*

 

  il y a maintenant plus de 1080 photos et 1000 listes d'élèves,

dont plus de 5500 identifiés sur ces photos, grâce à vous. 

Si votre nom est sur ce site et que cela vous dérange, il sera supprimé.

Visitez régulièrement le site pour voir les mises à jour fréquentes.

L'association des anciens élèves à ses morts de 14-18

Cette plaque se trouve dans l'ancien parloir du Lycée de garçons
Cette plaque se trouve dans l'ancien parloir du Lycée de garçons

LA THIERACHE, JEUDI 3 SEPTEMBRE 2015 - RESIGNY

André Sinet, créateur de véritables musées virtuels de Thiérache.

André Sinet est l'auteur d'un livre sur le parcours de son grand-père, Henri Romagny, en poste au Chemin des Dames. Il a également réalisé 4 sites Internet où il mêle son histoire personnelle à l'Histoire nationale.

Alors qu'il n'était encore qu'un enfant, André passait le plus clair de son temps chez son grand-père. Ce dernier habitait à 200 mètres du jeune homme et aimait à lui raconter «sa guerre». Bien plus tard, André décide de rendre hommage à cet homme illustre, artilleur qui a passé 4 ans sur le Chemin des Dames. Un incroyable témoignage qui a été possible grâce au manuscrit que Henri avait réalisé sur le front. Des notes, des croquis, des photos sur le vif, donnaient à voir ce qu'était la guerre. De ce recueil, André nous présente des dessins à 180° qui répertoriaient toutes les positions allemandes connues sur Soissons ou Vailly.

Un cadeau étonnant pour sa mère de 80 ans

C'est au début de l'an 2000 qu'André ébauche ce qui allait devenir un livre. Pour les 80 ans de sa mère, il décide de lui présenter l'histoire de son père, qu'elle n'avait pu lire, souffrant d'une trop mauvaise vue. La maman d'André redécouvre ces récits, rédigés sur l'ordinateur, avec de gros caractères. Elle demande à André d'en sortir 20 exemplaires pour la famille. Plus tard, André ira plus loin et éditera Le Journal d'un Artilleur au Chemin des Dames en 14-18. 176 pages, 80 photos et 40 croquis réalisés par son grand-père, qui ne racontent pas l'histoire de la guerre, mais comment on vit dans le conflit. Un premier site Internet est alors mis en ligne avec de nombreux éléments non publiés dans le livre. (http://artilleur-guerre14-18.jimdo.com/) Ne travaillant qu'avec des outils gratuits, André met à disposition une mine d'informations pour les amoureux d'Histoire et un aperçu exhaustif de la vie en Thiérache à l'époque. André apprend les outils du web, la façon dont on construit un site, toutes les possibilités de référencement, etc. Une entreprise qui ne l'effraie pas, André baigne dans l'électronique depuis longtemps. Il avait créé sa boîte de dépannage sur Laon. L'ordinateur ne lui fait pas peur ! Un deuxième site est alors sur les rails, avec les anciens du lycée de Laon. (http://laon-cien-eleve-lycee.jimdo.com/)

Le troisième site s'intéresse à la Thiérache par le regard de Pierre Romagny, son oncle, d'Alexandre Menu, son arrière grand-père et avec de nombreuses anciennes cartes postales Laonnoises pour illustration. (http://laoncien-laonnois.jimdo.com/)

Son histoire rencontre la Grande Histoire

Enfin, le dernier site met l'accent sur Résigny, son village natal. Comme les trois premiers registres paroissiaux n'étaient pas mis en ligne par les archives départementales de l'Aisne, André décide d'aller les photographier lui-même et de les mettre en ligne ! De nouveau, André joue habilement entre histoire personnelle, histoire locale et histoire nationale. Une constante. Les photos de famille sont toutes des éclairages sur le passé de la Thiérache. L'historique du village est présenté avec d'incroyables documents anciens. André s'efforce de les présenter de la plus belle des manières. Les documents sont retouchés pour enlever quelques traces du temps trop tenaces et apparaissent alors sous un autre jour. Des cahiers d'écoliers datant de 1895 sont proposés aux visiteurs du site. De même, les registres paroissiaux s'étendent de 1668 à 1745!

Grâce à ses connaissances quasi encyclopédiques, ses documents d'une rare valeur et son insatiable envie de partage, André participe aux livres édités par le Musée de la Thiérache. Le partage justement, pour André, ces différents sites sont également à destination de la jeunesse. Ils peuvent être de jolis outils didactiques et. pourraient faire le bonheur des enseignants pour des enseignements plus concrets. André lance un appel. N'hésitez pas à entrer en contact avec lui si vous possédez des documents sur Résigny. (http://resigny-thierache-aisne.jimdo.com/) Tout, tout, tout l'intéresse ! Benoit Didier

Découvertes au lycée

De Christian Houde Président de l'association, le 10 juillet 2014 :

 

A la demande du proviseur du lycée Julie-Daubié, (ex Lycée de garçons) j’apporte ma modeste contribution au projet " La Grande Guerre au lycée Julie-Daubié de Laon". A ce titre, à la recherche d’éléments nouveaux pouvant entrer dans le cadre du projet, j’ai été amené à visiter des parties souterraines du lycée assez peu connues.

Première surprise : l’entrée du lycée technique et le gymnase 2e génération (celui de l’origine se trouvait sous la chapelle) ont disparu. On nous avait annoncé, dans ses " greniers"  la présence de documents scolaires des années 40, j’apprends qu’il n’y avait rien d’intéressant, aucune vérification possible, le "nettoyage" ayant été fait.

Après un coup d’œil au chantier du nouveau complexe sportif (au niveau de ce que l’on appelait "la maison du colonel") je me suis rendu sur le rempart, au-dessus de la porte Soibert (porte de Soissons) et de la Dame-Eve (tour penchée) d’où on a une vue magnifique ; le lieu mérite vraiment d’être nettoyé.

Première visite souterraine : sous l’entrée actuelle du lycée (ancienne entrée de l’école pratique-lycée technique) une cavité humide envahie de glaise sans intérêt. Nous nous dirigeons alors vers l’entrée d’une construction sans date, de type médiéval, située non loin de la porte Soibert mais, bien sûr, au niveau des bâtiments du lycée. Ce genre d’édifice peut être aussi bien des XIIe-XIIIe (âge des portes fortifiées et remparts de Laon) que du XIXe (fortifications Séré de Rivières). Sa fonction me semble également mystérieuse : une vaste entrée avec des niches (qui paraissent être des accès rebouchés) faisant penser à une poudrière mais débouchant sur un vaste trou circulaire de pierres maçonnées profond de 4 à 5 m mais en partie comblé muni d’une échelle scellée dans la paroi ; l’ensemble fait plutôt penser à une glacière médiévale. Le couloir d’accès est fermé par une porte flanquée de deux sortes de guichets (sans doute de facture assez récente car ils sont supportés par de petits murets de briques). De part et d’autre de cette entrée (pouvant laisser place à un chariot), hors les niches évoquées ci-dessus, se trouvent deux passages d’entrée à voûte arrondie de taille humaine portant quelques graffiti datés d’années1890 et 1900.

Si vous avez quelque renseignement sur cet édifice, sorte de cave géante (recouverte de quelques mètres de terre et de végétation) merci de bien vouloir m’en faire part. J’en profite pour renouveler une demande précédente : si vous avez des renseignements ou des documents sur le lycée pendant la Grande Guerre nous serions très heureux d’en avoir connaissance.

Fin de la visite avec un coup d’œil à la cour 3 (cour centrale) où une plaque de fonte donne accès à une vaste citerne dont la superficie couvre plus de la moitié de la cour. Il s’agit de la réserve d’eau pour les pompiers, alimentée régulièrement par les eaux de pluies. Quand nous jouions dans cette cour nous étions loin de nous douter que sous nos pieds se trouvaient des milliers de mètres cubes d’eau.

Cordialement,

 

Christian Houde 

 

Des photos INEDITES du Lycée Paul Claudel en 1955

tirées de films réalisés par "Zoë" et trouvés sur une brocante par Mr Légé, président des Collectionneurs de Laon

Pour les consulter, cliquez ici

Faites des recherches dans vos archives, si vous avez d'autres exemplaires de cette revue, contactez moi. Merci d'avance

PARENTHESE 1966/67
PARENTHESE 1966/67

Article de l'Aisne Nouvelle su 16.10.2012 cliquez ici

Challenge robotique 2013 des établissements Laonnois

4ème challenge robotique du Lycée Pierre Méchain, cliquez ici

Présentation des robots de la finale du challenge robotique de Toulouse des 30 et 31 mars 2013 cliquez ici

Notre association a participé pour 300€ au déplacement des équipes finalistes

Souvenirs, souvenirs...
Souvenirs, souvenirs...

Extrait du journal "L'Union" du 20 juin 2009

 

Au lycée Julie-Daubié
Les bacheliers, 47 ans après

Ils ont passé leur bac en 1962.

 Quarante-sept ans plus tard, ils ont décidé de se retrouver dans la cour de leur ancien lycée.

Retour dans le passé.

Des élèves du lycée Julie-Daubié (ex Lycée National) se sont retrouvés jeudi. Tous avaient un point commun : ils ont passé leur bac en 1962. Dans la cour de l'établissement, à cet appel du 18 juin d'un genre un peu particulier, vingt-quatre ont répondu présents. « Nous étions 42 dans notre classe Math'Elem », comptabilise André Sinet. Dans cet effectif d'une moyenne d'âge de 65 ans, quatre sont décédés, deux n'ont pas été retrouvés. « J'avais dans mes papiers une liste rapportant les noms de chacun, l'adresse de leurs parents et leur objectif professionnel », explique celui qui fait partie du tiers resté dans la région. Élèves et professeurs se retrouvent. L'idée de retrouver tous ceux qui ont passé leur bac il y a 47 ans en ce premier jour d'épreuve du bac 2009, vient de Dominique Decraene. Cette dame habite aujourd'hui Bogota (en Colombie), elle avait gardé quelques contacts dans ses camarades laonnois mais souhaitait savoir ce que tous étaient devenus.
Deux mois et demi plus tard, ils sont tous réunis dans l'établissement, accompagné de Gérard Mathieu, leur professeur d'histoire-géographie à l'époque. Pour lui, revenir sur ces lieux est un véritable pèlerinage : « j'ai été élève à Julie Daubié, j'y ai passé mon bac et j'y suis revenu en tant qu'enseignant ».
À la retraite depuis 1992, le professeur avait toujours eu cette idée de retrouver ses anciens camarades mais il n'a jamais mis ce projet à exécution. « C'est dommage », lâche t-il avec regret. En voyant tous ses élèves aussi heureux de se retrouver, il imagine ce que cela doit représenter. Jeudi, il était lui aussi content de les rencontrer. « Je me souviens bien de notre prof d'histoire-géo, il nous avait organisé une sortie sur les champs de bataille à Verdun, cela nous a marqués.
À l'époque, c'était rare », se souvient André Lamy. En arrivant sur place, l'enseignant a reconnu plusieurs de ses élèves : « Il y en a qui n'ont pas du tout changé ».

Anecdotes et souvenirs :

Côté caractère, en revanche, quelques évolutions : « Tous étaient très disciplinés. On ne parlait pas aussi facilement que maintenant ». Un ancien élève complète : « en une journée, on a eu plus de contact qu'à l'époque en une année ». Mais en retournant quelques temps en arrière, certains semblaient toutefois plus dégourdis : « J'ai parfois fait le mur avec d'autres pour aller voir les filles », avoue, amusé, Philippe Benoist. Une de ses camarades confirme : « Nous, on préparait des draps noués ensemble pour les faire monter ». Philippe Benoist se souvient aussi s'être cassé le bras dans cette cour : « C'était là-bas », indique t-il en montrant un bâtiment, « j'allais chercher un ballon ».

Tous étaient ravis de se revoir même si certains, comme Jean Cocher pensaient être plus émus de revenir à ces années-là : « je pense que c'est parce qu'avec le temps, les souvenirs s'estompent ».

Aurélie Marcotte

Depuis, les deux manquants ont éré retrouvés, l'un dans le midi, l'autre aux USA.

 

 

Photo d'origine Math'Elem62
Photo d'origine Math'Elem62

J’ai passé, avec quelques autres, plus de 2 mois pour retrouver mes anciens camarades de classe, et mon premier réflexe a été de chercher sur internet, mais je n’y ai trouvé que deux noms, et encore, j’avais la chance d’avoir la liste de la classe. Je me suis rendu compte que pour ceux qui recherchent, c’est la liste des noms qui pose le premier et plus important problème.

J’ai donc essayé de faire ici le site que j’aurais aimé trouver si je n’avais pas eu de liste.

 

Le 18 juin 2010 à Coucy le Chateau

Si la grande guerre 14-18 vous intéresse cliquez ici

Si la vie dans le Laonnois il y a un siècle vous intéresse,

visitez mon nouveau site, cliquez ici

 

Vous aimez la Thièrache ? alors cliquez ici

Les registres paroissiaux de Résigny de 1668 à 1745 non publiés sur internet

La ferme de mon grand-père Léon Sinet,

des cartes postales anciennes,

des photos inédites,

cliquez ici

Visite et histoire de Laon, avec Marijo

Mentions légales

« Ce site utilise Google Analytics, un service d'analyse de site internet fourni par Google Inc. (« Google »). Google Analytics utilise descookies , qui sont des fichiers texte placés sur votre ordinateur, pour aider le site internet à analyser l'utilisation du site par ses utilisateurs. Les données générées par les cookies concernant votre utilisation du site (y compris votre adresse IP) seront transmises et stockées par Google sur des serveurs situés aux Etats-Unis. Google utilisera cette information dans le but d'évaluer votre utilisation du site, de compiler des rapports sur l'activité du site à destination de son éditeur et de fournir d'autres services relatifs à l'activité du site et à l'utilisation d'Internet. Google est susceptible de communiquer ces données à des tiers en cas d'obligation légale ou lorsque ces tiers traitent ces données pour le compte de Google, y compris notamment l'éditeur de ce site. Google ne recoupera pas votre adresse IP avec toute autre donnée détenue par Google. Vous pouvez désactiver l'utilisation de cookies en sélectionnant les paramètres appropriés de votre navigateur. Cependant, une telle désactivation pourrait empêcher l'utilisation de certaines fonctionnalités de ce site. En utilisant ce site internet, vous consentez expressément au traitement de vos données nominatives par Google dans les conditions et pour les finalités décrites ci-dessus. »